de Delphine de Vigan
Lattes
Août 2009
280 pages
Point de vue de l'éditeur ICI
Mon avis :
Delphine de Vigan nous raconte la solitude de la ville tentaculaire, la violence silencieuse (notamment le harcèlement moral dans l'entreprise que beaucoup ont subi ou subissent). Le lecteur est sous tension jusqu'à la dernière page. A la fin du roman, on aurait presque envie d'aller garder les chèvres dans le Larzac :o)
Mais les personnages sont attachants, et nous les comprenons si bien car peu ou prou, nous avons tous, comme eux, avancé dans la tourmente du quotidien.
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